A l’heure actuelle, il semblerait que tout endroit se veuille être un support de communication ou un espace publicitaire. Et ce, même dans des endroits insolites… tels que les rames de métro ou les façades des buildings. Pourtant, jusqu’à présent, ces derniers avaient dérogé à cette règle ! VcomK revient sur ces deux tendances émergentes que sont le beamvertising et le tunnel marketing…
Apparu en 2007 lors d’une campagne publicitaire du groupe Lagardère, le beamvertising – contraction de « beam » (signifiant faisceau en anglais) et « advertising » – est rapidement devenu un phénomène de l’autre côté de la Manche et de l’Atlantique. Cette nouvelle forme de street-marketing et d’affichage extérieure repose sur un système de faisceaux que l’on fait jouer sur les façades de divers buildings. Parmi les marques ayant eu recours à ce moyen de communication, on pourrait citer à titre d’exemples Ebay, Puma, Redbull ou encore Nike. L’avantage du beamvertising ? Il est éphémère (il est projeté le temps d’une nuit), vivant (en fait, il repose sur la notion d’animation), imprévisible (l’objectif est bel et bien de surprendre et d’attirer le regard), impactant et créatif. Enfin, ultime argument pour les réfractaires : il peut créer et relayer un véritable buzz.
Autre tendance émergente, mais cette fois provenant de la péninsule italienne : le « tunnel marketing ». Inventé par la société Métrolution, le concept repose sur le procédé du folioscope. Ainsi, dans les tunnels où circulent les rames de métro, sont installés des panneaux publicitaires éclairés. Avec la vitesse du métro (d’environ 80km/h), le spot publicitaire prend vie et s’anime… pour le plus grand plaisir des yeux des voyageurs ! Ce procédé fait déjà fureur à New-York, Tokyo, Milan ou Rome… Mais qui osera développer ce moyen de communication en France ? Plus onéreux que le breamvertising, il est tout aussi impactant et novateur.
Alors, êtes-vous plutôt « breamvertising » ou « tunnel marketing » ? A vous de choisir ! 🙂